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  • Les sovietiques et les tanks Shermans.

    Oh oui oui, les Soviétiques aimaient beaucoup les chars Sherman. Deux raisons :


    Durabilité du moteur : Les moteurs Sherman ont été conçus pour fonctionner pendant 1 an (soit environ 2000 km) alors que les moteurs T-34 ont été construits pour durer seulement 6 mois (soit environ 1000 km). Cette caractéristique rendait les chars Sherman particulièrement adaptés à l’école d’entraînement où les chars étaient conduits jour après jour, nuit après nuit par des recrues brutes.
    Confort de l’équipage : L’intérieur des citernes Sherman a assuré le confort de l’équipage pendant de longues périodes. Entre-temps, avec le T-34, peu d’efforts ont été faits pour le confort de l’équipage. Il suffit de regarder les 2 chars, côte à côte : Le Sherman était plus grand, plus haut et avait plus de place pour son équipage; le T-34 était terriblement exigu.

    En passant, la première unité soviétique à entrer à Berlin était le 1er Corps mécanisé, qui faisait partie de la 2e Armée de chars de la Garde, le 1er Front biélorusse de Joukov. Il s’avère que le 1er Corps mécanisé était entièrement équipé de Shermans. Donc, en substance, les chars américains ont atteint Berlin avant les chars soviétiques ! Aïe!

  • Des Français dans l'armee allemande.

    Le jour de la reddition inconditionnelle du Troisième Reich, le 8 mai 1945, près de la station balnéaire bavaroise de Bad Reichenhall, sur ordre du commandant de la Deuxième Division Blindée de la France combattante, le général Leclerc, 12 soldats furent abattus. Ils étaient tous des citoyens français. 11 de la division française SS Charlemagne et un (Paul Briffaut) de la Légion des Contre-Bolcheviks français (LVF), ou 638th French Infantry Regiment (le nom allemand de l’unité).


    Dans le sud de la Bavière, ces personnes ont été soignées dans un hôpital jusqu’à ce que, au début de mai 1945, elles soient capturées par les Américains. Les malades de l’hôpital, ainsi que d’autres prisonniers de guerre, furent placés dans un camp temporaire, dans les casernes des fusiliers alpins. Puis la ville, avec ce camp temporaire, fut transférée à l’unité militaire française du général Leclerc.

    Que faisaient les Français dans les rangs de la Wehrmacht et des SS ? Le recrutement dans la Légion des volontaires français contre le bolchevisme commença en France au début du mois d’août 1941. Elle s’est tenue officiellement, avec le consentement du gouvernement ami des Allemands du maréchal Philippe Petain. Dans cette légion, au moment de son expédition sur le front de l’Est (novembre 1941), il y avait 2,5 mille personnes. Il a été inclus dans la Wehrmacht comme le 638ème régiment d’infanterie, et au total environ 7 mille Français y sont passés pendant la guerre. À la fin de novembre 1944, la Légion des volontaires français est dissoute et ses soldats survivants rejoignent la Waffen SS Charlemagne Division. Le début de cette unité militaire SS française a été posé en mars 1943. Le recrutement de volontaires français dans les rangs de la Waffen SS a également été effectué ouvertement, avec la permission et même avec l’aide du gouvernement actuel de Petain.


    Soldats de la division SS Charlemagne près de Moscou

    Au début, c’était un régiment, puis une brigade, qui à l’été 1944 a été nommé "Charlemagne". Le 10 février 1945, elle devient la "33rd Waffen SS Grenadier Division" Charlemagne ". Les soldats français de la Wehrmacht et de la Waffen-SS portaient un uniforme de campagne ordinaire, mais avec leurs propres insignes. En particulier, avec un chevron en forme de tricolore national français (sur l’épaule gauche des SS, à droite des soldats de la Wehrmacht). La légion et le Charlemagne ont combattu sous le commandement d’officiers français et sous les drapeaux nationaux français.

    Pourquoi les Français ont-ils tiré sur leurs compatriotes ? La raison du massacre des prisonniers de guerre était absurde et plutôt stupide. Le « vaillant » général Philippe Leclerc, appuyé sur une canne, marcha le long d’une ligne de « soldats d’Hitler » français qui étaient encore très jeunes, les examina et demanda soudain à l’un des prisonniers : « Pourquoi avez-vous mis l’uniforme allemand ? » Celui-ci n’entra pas dans sa poche pour un mot, et sa réponse au général se révéla assez impudente : "Pourquoi avez-vous porté l’uniforme américain?" .

  • Traiter son animal comme un enfant.

     J’ai trouvé mon chat comme un petit chaton (environ 6 semaines) laissé comme mort dans une boîte près d’un conteneur. Je l’ai réchauffée avec ma propre température sur le chemin du retour, elle était presque à moitié morte. Quand je l’ai ramenée chez elle et qu’elle était sèche (parce qu’il pleuvait en octobre et que je vis dans une Scandinavie froide), elle avait un pouls stable et semi-fort.


    Je l’ai emmenée chez le véto, je suis étudiante et je n’avais pas beaucoup d’argent, mais je préférerais manger de l’avoine pendant deux à trois semaines plutôt que de laisser mourir une autre créature vivante. J’ai fini par la nourrir au biberon toutes les 2 heures tous les soirs et  faisant de la communication animale en me précipitant à la maison pour la nourrir au biberon pendant mes vacances scolaires.

    Cette petite chose est mon enfant, tout ce lien dans la nuit quand je l’ai nourri au biberon. Je suis angoissée, et à cause d’elle, je ne souffre plus de cauchemars.

    Quand c’était mauvais, elle paniquait et me réveillait pour que je n’aie pas à souffrir. Même un an après que j’ai eu mon dernier cauchemar, elle dort toujours avec son nez sur mon cou ou des câlins avec ma main et garde son nez sur mon poignet pour vérifier mon pouls afin qu’elle puisse me réveiller dès qu’elle détecte une détresse.